Archives par mot-clé : meeting

29/1/23 – DIMANCHE à l’AERI

VIDEO DE LA JOURNEE ICI

Interventions de

Liliane Irzenski, Sandrine Deloche, Mathilde Hamonet, Martin Pavelka, Michaël Paszt, Augustin Clarou, Agnès Caffier, Marie-José Mondzain, Bernard Ferry, Séverine Ouaki, Françoise Nielsen, Catherine Laval, Anne Perret, PDG de Tyraline et son assistante, Philippe Rassat, Dr BB, Jean-Marc Royer, Alexis de Tocqueville (en différé), Bastien Sueur, Capucine Meilhac, Revue NREA, … et les présents ce dimanche à l’AERI

PUBLICATION « L’ENFANCE MISE AU PAS » : https://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=numero&no_revue=963&no=74027    

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VIDÉOS du meeting ENFANCE EFFACÉE du 16 octobre 2016

ENFANCE EFFACÉE ..?  RÉSISTER, INVENTER…

Journée poétique et politique 

Nous sommes inquiets et en colère. Les politiques s’attaquent à notre humanité dès l’enfance.

Ainsi commençait le meeting du 16 octobre 2016. Ces  propos restent  cruellement  d’actualité.

VIDEO DU MEETING :   http://collectifdes39.fr

PHOTOS DU MEETING : https://www.flickr.com/gp/145990701@N04/506P29

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Enfance effacée…? Résister, Inventer – MEETING du 16 Octobre 2016

   ENFANCE EFFACÉE ..? RÉSISTER, INVENTER 

MEETING POÉTIQUE ET POLITIQUE, organisé par le groupe  Enfance du Collectif des 39, dimanche 16 octobre 2016 de 9h à 18h, à  la PAROLE ERRANTE à Montreuil

Retrouvez les vidéos en cliquant sur ce lien  http://collectifdes39.fr

Interventions poétiques et artistiques tout au long de la journée avec Hélène Bouchaud (actrice), Aurélien Chaussade (acteur),                     Martine Irzenski (actrice), Tolten (rimailleur)

PROGRAMME :

Continuer la lecture de Enfance effacée…? Résister, Inventer – MEETING du 16 Octobre 2016

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Communiqué de presse Collectif des 39 – Groupe Enfance –

Le Collectif des 39 est inquiet et en colère face à l’évolution de nos sociétés, avec l’affaissement permanent des systèmes de solidarité publiques.

Le groupe Enfance de ce collectif organise un meeting poétique et politique intitulé   « Enfance effacée..? Résister, Inventer! ».

Ce meeting aura lieu le dimanche 16 octobre 2016 de 9h à 18h à la Parole Errante à Montreuil, 9, rue François Debergue (Métro Croix de Chavaux).

L’entrée est libre et gratuite.

L’objet de cette journée est de dénoncer la logique gestionnaire qui entame la liberté de penser et d’agir, particulièrement dans le champ de l’enfance. Nous apporterons aussi le témoignage de la force, de la beauté et de l’intelligence d’autres pratiques qui respectent l’imaginaire et le temps de l’enfance.

Avec ce meeting nous voulons amplifier les solidarités, tisser des liens entre les mouvements individuels de résistance à la mise à mal de nos métiers, à la disparition tendancielle, dans les eaux glacées du calcul égoïste, de ce qui construit l’humain.

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>Appel pour des assises citoyennes pour l'hospitalité en psychiatrie et dans le médico-social

Le collectif des 39 et les Ceméa

Organisent les 

ASSISES CITOYENNES POUR L’HOSPITALITE

EN PSYCHIATRIE ET DANS LE MEDICO SOCIAL

31mai et 1er juin 2013 à VILLEJUIF 94

Programme en cours d’élaboration

Une période politique vient enfin de se clôturer avec le départ de Nicolas Sarkozy qui s’était illustré en décembre 2008 par un discours criminalisant les malades mentaux. Cela s’est traduit par les mesures répressives contenues dans la loi du 5 Juillet 2011. Celle loi indigne – que nous avons ardemment combattue aux côtés notamment de l’ensemble des forces syndicales et des partis de gauche – à introduit la pratique de soins sans consentement au domicile du patient, pervertissant profondément la notion même de relation soignante qui ne peut s’instaurer que sur une confiance réciproque qu’il s’agit de construire. Cette loi met aussi bien souvent les familles dans une position intenable de lieu de soin pour des patients trop rapidement sortis de l’hôpital. 

Cette loi a déjà été remise en cause par le Conseil Constitutionnel, mais il ne suffira pas de l’abroger. Nous attendons du nouveau Gouvernement, une refondation de la psychiatrie respectueuse des principes républicains et de l’éthique soignante. Depuis des années, une succession de lois (Plan Juppé, HPST, 5 juillet 2011…) ont attaqué la possibilité du soin psychique aussi bien en psychiatrie que dans le médicosocial. Ce qui est vécu douloureusement par les soignants, mais aussi par les patients et leurs familles. La prise en charge relationnelle singulière est remise en cause au profit d’un formatage imposé par l’obligation de se plier à des protocoles élaborés par les « experts » de l’HAS et autres cellules qualités. L’HAS allant jusqu'à vouloir interdire la référence à la Psychothérapie Institutionnelle, alors que c’est de ce mouvement, dans sa diversité, qu’est né le Secteur !

Il est important aujourd’hui de reprendre une parole qui nous a été confisquée, ou même qui n’a jamais été donnée aux principaux concernés : ceux qui subissant leur maladie doivent aussi supporter la mise au silence, la privation de leurs droits fondamentaux et la réalité d’une ségrégation sociale. Des témoignages révoltants de cette dégradation nous reviennent de toutes parts. Il nous appartient au contraire d’affirmer qu’aujourd’hui d’autres pratiques sont à l’œuvre qu’elles se réclament de la Psychothérapie Institutionnelle, du Désaliénisme, du Secteur, de la Psychanalyse, ou tout simplement d’une conception humaine de la relation soignante. 

La refondation de la psychiatrie ne peut venir des « experts » de l’HAS, mais d’une prise de parole active de tous ceux qui se sentent concernés  dans leur vie:  soignants, patients et familles ; mais aussi artistes et créateurs qui ont pour beaucoup soutenu notre combat dès les premiers instants, et enfin tous les citoyens qui ne peuvent supporter que des lois s’attaquent aux fondements de la République en bafouant les droits de ceux qui mériteraient  au contraire la  protection de la cité. 

Pour cette refondation de la psychiatrie nous aurons à faire l’inventaire de toutes les lois empêchant le soin pour demander leur abolition. Mais aussi à définir les moyens et les formations spécifiques nécessaires pour une psychiatrie centrée sur le soin de personnes en souffrance psychique et non sur la normalisation des conduites et des populations.

Nous appelons donc à des Assises citoyennes basées sur les témoignages et les expériences de terrain dans les collectifs de soin, pour construire ensemble des propositions de refondation de la psychiatrie et du médicosocial inscrites dans une relance et une réinvention de la politique de secteur, dans ses liens avec la psychiatrie privée et  l’ensemble des acteurs de la vie sociale.

sante.mentale@cemea.asso.fr

 

 

Secteur travail social et santé mentale

Tél. : 01 53 26 24 24

Fax : 01 53 26 24 19

 

Espace Congrès des Esselières 94800 Villejuif (Métro Léo Lagrange- ligne 7)

 

 

3 Blvd Chastenet de Géry Rond-point du Général de Gaulle Appel du 18 Juin 1940

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>Politique de l'hospitalité : XIIIème rencontre de la Criée le 1er et 2 juin

 

Reprendre une fois encore cet enjeu crucial de l’hospitalité dans ce moment de crise, traversé d’attaques aux fondements de la Culture, nous conduit nécessairement à une prise de position politique. Comment passer sous silence l’insupportable montée du racisme et de l’antisémitisme, l’hostilité explicite aux étrangers qui menaceraient tellement l’identité nationale qu’il faudrait les expulser sans cesse ?

Se trouve ainsi ravagée toute une tradition du droit d’asile et des lois de l’hospitalité qui sont au fondement même du lien social et des processus de symbolisation. Ce que l’anthropologie a pu reconnaître et investiguer en termes d’éloge du don et du pottlach, de la régulation qu’opère aussi le sacrifice rituel dans la religion monothéiste, tous ces montages textuels et sociaux se trouveraient déniés par une lame de fond que l’on dit postmoderne.

Un tel contexte où la haine de l’étranger vient à se dire de façon de plus en plus explicite ne peut qu’exacerber la peur et la haine du différent, et retentir dans nos pratiques d’accueil de la folie. Quand un magistrat, Serge Portelli, vient nous dire que nous serions dans un « Etat limite », dans la hantise d’un Etat autoritaire qui pourrait produire des ravages inédits, nous aurions intérêt à nous sentir pour le moins concernés, si ce n’est menacés par de telles dérives. Ce qui s’énonce comme une politique sécuritaire, prend le visage précisément de la rupture avec une tradition d’accueil et de soins qu’il ne s’agit pas d’idéaliser, mais qui ne mettait plus en avant, depuis les avancées du Secteur et de la Psychothérapie Institutionnelle, ces idéaux de contrainte et de « soins sans consentement » qui reviennent aujourd’hui sans vergogne.

Cette rupture s’opère, parée maintenant des vertus présumées d’une déshospitalisation qui se trouve pervertie, en rejetant les patients à la rue ou en les condamnant à la prison. Une nouvelle loi nous promet le meilleur des mondes en avançant la généralisation de « soins obligatoires en ambulatoire », soins qui sont imaginés selon une conception du sujet où tout désordre trouverait son remède. Que ces remèdes soient en premier lieu imaginés comme médicaments administrés de force témoigne d’une méconnaissance active, voire d’un refus de tout l’abord psychanalytique du sujet, de la folie, et de soins psychiques fondés en raison sur l’accueil du délire. Nous ne pouvons pas non plus ignorer la possibilité de « psychothérapies sur ordonnance » qui seraient exécutées par des praticiens « certifiés conformes » par l’Etat, censées résoudre ainsi le malaise et produire l’adéquation d’un monde parfait.

L’appui sur l’abord freudien nous sera donc essentiel pour questionner l’accueil de l’étrangement inquiétant (unheimilich) et soutenir en acte la possibilité du transfert. Le concevoir comme une offre en rapport avec le désir d’analyse pourrait polariser cette hospitalité où l’analyste, le soignant offre son espace psychique pour accueillir autrui.

Ce don premier qui est une bejahung, une affirmation primordiale et une ouverture à l’altérité, constitueraient autant de fondations précieuses qu’il s’agirait de relancer sans cesse, dans leur précarité d’autant plus essentielle qu’elle se trouve menacée de façon explicite par l’idéologie de notre époque.

Penser l’hospitalité à l’entrecroisement hétérogène de plusieurs champs s’impose avec insistance, et nous aurons besoin, pour soutenir ce mouvement et retrouver du souffle, d’autres abords philosophiques, littéraires, poétiques … L’enjeu consisterait, en évitant la nostalgie d’un âge d’or, à soutenir les collectifs qui résistent et soutiennent une pratique inventive, tout en évitant un repli dans des institutions qui pourraient vite devenir de petites « forteresses vides », si nous cessions d’y relancer un mouvement de subversion de l’institué.

Patrick CHEMLA

Télécharger le programme et les bulletins d'inscription : La-CRIEE-2012

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> Vidéos du meeting du 17 mars 2012 à Montreuil

Ouverture du meeting :

 

 

Débat sur le sécuritaire (1) Meeting des 39, 17 mars 2012 à Montreuil… par collectif39

 

Débat sur le sécuritaire (2), Serge Portelli : collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

 

Débat sur le sécuritaire (3) collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39


collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

Débat sur le sécuritaire (4) Front de gauche :


collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

Débat sur le sécuritaire (5) : Pas de zéro de conduite :


collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

Débat sur le sécuritaire (6), Lysia Edelstein, protection judiciaire de la jeunesse


collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

Débat sur le sécuritaire (7), Pierre Joxe


collectif des 39- Montreuil le 17.03… par collectif39

Toutes les vidéos en cliquant ici

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