>Réforme de la Loi de 1990 : La FNAPSY rappelle ses positions

Elle demande une loi « psychiatrie et santé mentale » destinée à redistribuer, réorganiser et articuler :

la prévention ;

le soin ;

la postvention.

La priorité est de soigner.

Elle s’élève contre l’appellation de « soins sous contrainte » donnée au soins ambulatoires alors qu’elle a toujours soutenu qu’il devait s’agir de « soins sous contrat » proposés comme alternative à l’internement (quand il est indispensable) mais non imposés.

Elle rappelle qu’elle a toujours demandé à ce que les usagers soient soignés dans des établissements adaptés à leurs cas :

les personnes ayant besoin de soins, consentis ou non, en hôpital spécialisé ou en service de psychiatrie ;

les personnes ayant commis des crimes ou délits, lors d’altération du discernement, en UMD ;

les personnes ayant commis des crimes ou des délits, dont ils ont été déclarés responsables, et soufrant par ailleurs de troubles psychiatriques, en UHSA, comme pour toute autre pathologie.

Le mélange de ces trois catégories ne peut qu’être inadapté et amener des dysfonctionnements graves.

Enfin, la FNAPSY rappelle qu’elle réclame l’intervention du juge pour toute privation de liberté, nous sommes des citoyens comme les autres et il en va de notre dignité.

Claude FINKELSTEIN

Présidente

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2 réflexions sur « >Réforme de la Loi de 1990 : La FNAPSY rappelle ses positions »

  1. FNAPSY je suis d’accord avec vous

    Mais lorsque j’ai voulu m’adresser à vous de choisy/ seine Il m’était impossible de le faire, (j’ai du faire intervenir le préfet et une personne à plus de 100 km) qui de plus n’était pas au courant du présent, le psychiatre a besoin de « deux signatures hein ? » de nos jours n’importe qui peut être interné !

    De nos jours n’importe qui peut se retrouver en garde à vue (remise à zéro) comme ça vous ne redemender pas un avocat hein ! on trouve aussi des clochards hein ça fait tourner l’usine secteur. Comme il n’y a plus assez de malades mentaus, on appelle cela maison de repos.

    De nos jours n’importe qui peut-être fiché et ce deux fois.

    avant toute chose Il est important que des éthiques reformulent leur non empiétement sur d’autres professions :
    — Qu’elles reformulent clairement leur éthique propre à chacune
    Les psychiatres en institution tel que Saint Anne je n’avais pas de malaise parce que j’étais folle, j’avais besoin de sang M. C »DMS »
    Les psychologue et les DMS, et détournement de personalité pour coatcher , certaines profession, et abaisser le niveau stress
    La police qui maintenant peut intervenir si votre tête ne plait pas à celle du voisin !

    l’Etat lui même (hubris bien inconscients) nous parlons de l’europe, hein, et des pays francophone, et de nos enfants bien français qui n’ont ni les mêmes coutume, façons de vivre, de parler et d’apprendre les uns instinctifs les autre mathématiser !

    Ah ! ah ! et NOUS psychanalyste ? j’attends encore je vous l’ai demandé en 2005 !

    Oui Une éthique

    les seuls pour l’instant qui ne dépasse aucune limite et empiètement sur la vie « d’autres » sont les généralistes

    Règler une seule de ces éthique ne servira à rien ! ou alors tous ensemble !

    Et je rapelle ici, à tous, qu’aucun enfant ne peut être étiquetté de DMS, quand à nous autres particulier nous seront tous fous quand qui le décidera. Ceci s’appelle dépassement de limite !

    Marie-Lise Ehret

    21 juin 2010

    * c’est en ma personne que je parle « psychanalyste »

    * je revendique en tant que tel d’aller à la guérison et non pas vers l’électron !

    par Marie-Lise Ehret | 21 juin 2010, 19:32

  2. Ceci n'est pas une pipe!
    Juste un essai pour comprendre comment ça marche!
    Avec mes excuses et à bientôt sur le blog.

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